« Flectere si nequeo superos »
Pourquoi ajouter à longue litanie des blogs et autres lieux d’expression 2.0 un énième poncif sur les tribulations d’une individualité dans l’océan des subjectivités composant notre monde ?
Tout simplement pour permettre à chacun de trouver ce qui fut édité ailleurs, pensé ici et/ou réfléchi naguère. Et rendre accessible le produit d’une recherche financée par des deniers publics depuis des années.
Transmettre donc puisqu’il s’agit de la mission première d’un enseignant. Et dévoiler car cela est le but de cette recherche.
Et dans la mesure où l’auteur de ces pages est enseignant-chercheur et qu’il existe peut-être quelque part sur cette planète une personne pouvant, dans un moment d’égarement, manifester un intérêt quelconque pour ce qui a pu être accompli ou entamé… qu’il soit le bienvenu.
Le droit est une entropie : tout est toujours plus chaotique le lendemain que la veille. Y chercher de l’ordre semble vain. S’y mouvoir pour rechercher des équilibres semble sain (et bien plus raisonnable).
Alors, « quieta non movere » ? « Acheronta movebo » !
Bravo pour votre travail. Nous aimerions vous compter parmi les membres du club 4rse juristes sur LinkedIn. Bien cordialement. Thilo